Mathilde Delahaye invente un laboratoire de recherche autour de la question de la violence politique.
« Nous sommes en 2028, elles sont frères, sœurs, cousins, cousines. Comme chaque année, elles se réunissent pour commettre un acte de résistance en mémoire de leur aïeule : le meurtre d’un fasciste.
Ce rituel violent, dans un futur dystopique, est le point de départ d’une fresque épique, féminine et combattante, construite à partir de Catarina et la beauté de tuer des fascistes de Tiago Rodrigues, des Guérillères de Monique Wittig, et de documents historiques sur l’action directe d’extrême gauche en Europe au XXème siècle. » Mathilde Delahaye
Les vingt-trois élèves du Groupe 46 sont répartis en deux équipes -'lune avec Lazare, l'autre avec Mathilde Delahaye - réunissant chacune des acteur·rice·s, des scénographes-costumier·ère·s, des régisseur·se·s-créateur·rice·s et deux metteurs en scène du Groupe 47. Les demi-groupes travaillent en parallèle, dans des espaces spécifiques, à des ateliers conçus par les deux artistes associés du TNS.